AFFECTION
MAMANTraits de caractère
COMPLICITE AMITIE PARTAGEADOLESCENCE - TOUJOURS
BONHEUR
On a toutes - quelque chose à partager....
On a toutes - quelque chose à partager....
Ma cousine CHRISTINE et sa fille JADE
Elles ont en commun le même regard, les mêmes yeux bleus....
la même fragilité, le même petit air mutin !
Elles ont en commun le même regard, les mêmes yeux bleus....
la même fragilité, le même petit air mutin !
Notre fille CAROLE et MOI
la même fougue, la même façon "de foncer et de réfléchir après"...
Une certaine intimité - toujours là pour moi -
"elle me défend bec et ongles"...
Elle n'est pas ma fille, seulement ma belle fille,
mais nous sommes "pareilles" toutes les 2...
la même fougue, la même façon "de foncer et de réfléchir après"...
Une certaine intimité - toujours là pour moi -
"elle me défend bec et ongles"...
Elle n'est pas ma fille, seulement ma belle fille,
mais nous sommes "pareilles" toutes les 2...
GEORGETTE (ma maman) et MOI
Le même entêtement et la même force de caractère....
Toutes si différentes - Mais un lien si fort...
La mère a facilement tendance à s’identifier à sa fille, à la considérer, inconsciemment, comme un prolongement d’elle-même. Elle se confie à elle, lui demande des conseils, et s’attend à la même chose en retour. Aux prises avec ce lien affectif fort et ambigu, entre autorité parentale et amitié, la fille a du mal à distinguer ses propres sentiments de ceux de sa mère. À l’adolescence, ce lien devient encore plus difficile à gérer: éprises de liberté, les jeunes filles souhaitent vivre leur vie et avoir un jardin secret. Mais leur indépendance reviendrait à couper le lien qui les unit à leurs mères, et à les faire souffrir. Et donc à se faire elles-mêmes du mal.
Le même entêtement et la même force de caractère....
Toutes si différentes - Mais un lien si fort...
C'est pourtant de ce lien privilégié que j'ai voulu vous parler ICI
La mère a facilement tendance à s’identifier à sa fille, à la considérer, inconsciemment, comme un prolongement d’elle-même. Elle se confie à elle, lui demande des conseils, et s’attend à la même chose en retour. Aux prises avec ce lien affectif fort et ambigu, entre autorité parentale et amitié, la fille a du mal à distinguer ses propres sentiments de ceux de sa mère. À l’adolescence, ce lien devient encore plus difficile à gérer: éprises de liberté, les jeunes filles souhaitent vivre leur vie et avoir un jardin secret. Mais leur indépendance reviendrait à couper le lien qui les unit à leurs mères, et à les faire souffrir. Et donc à se faire elles-mêmes du mal.
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